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Re-gagné le pot de chambre !

par: René Obi, (commentaires : 0)

On l'a regagné aujourd'hui. Le pot de chambre. Après la victoire en dernière seconde l'an passé, cette fois-ci c'était clair et net.

Déjà avant le huit on était loin devant. Quand-même c'est la victoire du huit à la fin qui nous rend encore plus fier.

ARZ gagne le pot de chambre .-)

Voici une impression filmée du huit :

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En tout nous avons gagnés 4 sur 5 disciplines.
Le saut au sac avec René, Margot et Simon
Le quatre avec Andrea, René, Eric et Karl
Le tirer à la corde et le huit avec Matthias, David, Pierre-Emmanuel, Dimitri, Tom, Cédric, Pauline, Fred G. et Michel.
Mais il faut avouer que toutes les compétitions étaient assez serrées. Aussi la première avec les Yoles de mer ou Nordiska avait gagné avant le PRC et notre bateau avec Nicolas, Margot, Felix, Michel et Marco. Bravo aussi aux trois autres clubs participants. Le Nordiska, le PRC et le CNF.

Saludo de Bogotá

par: Nikolaus Thiel, (commentaires : 0)

Salut Zäme

Mes classes d'espagnol se sont terminées et finalement je trouve le temps à écrire.

J'ai eu cours de 9h à 13h de lundi à vendredi, et l'après-midi j'ai fait mes devoirs et je suis sorti avec collègues et ma famille d'accueil. Elle est très agréable et me fait goûter des spécialités colombiennes, comme Ajiaco qui est un ragoût délicieux avec des petites pommes de terre et légumes variés, dont je n'ai jamais entendu parler. En plus, dans cette famille se passe toujours quelque chose: soit nous sommes accueillis pour visiter ou nous en accueillons.

La Colombie me plaît très bien; il y a toujours quelque chose à faire. En plus j'ai trouvé un nouvel emploi: à partir de premier janvier je travaillerai chez Leonteq a Zurich. Je n'ai plus besoin de m'inquiéter de la recherche d'emploi et je vais donc rester un mois de plus en Colombie.

Bien que le vol aie été long, j'ai pu surmonter le décalage horaire rapidement et m'habituer à l'altitude de 2600 mètres de Bogotá. Le premier week-end je suis monté sur le Monserrate à l'altitude de 3000 mètres. Ici à cette altitude, il y a toujours la forêt.

à la mi-septembre, je suis allé à la Cathédrale de sel à Zipaquirá. Il s'agit d'une cathédrale souterraine, qui a été construit dans une ancienne mine de sel. J'ai beaucoup photographié et mis les photos sur internet:

http://www.flickr.com/photos/105882273@N04/sets

Aujourd'hui j'ai acheté mon voyage en Amazone pour une semaine. Je ferrai du canoë sur le fleuve, connaissance avec une communauté indigène et randonnerai dans le forêt tropical. Ramer sur l'Amazone me paraît un peu dangereux.

Saludo de Bogotá,
Nikolaus

Sihlsee : Four Ever will stay for ever

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Sihlsee, dernier week-end d’août : 27 rameuses et rameurs sortent 33 fois par calme plat matins et soirs, sous un peu de vent en journée et trois gouttes de pluie dimanche. Neuf bateaux parcourent 320 kilomètres, les rameurs 971 kms, dans un paysage de modèles réduits Märklin.

Michel collectionne huit sorties pour un total de 83 kms. Nikolaus rame 59 kms en six sorties. Eric, plus économe, totalise 57 kms en quatre sorties seulement. Ce dernier explore avec Castor l’embouchure de la Sihl à Euthal où je l’ai précédé avec Babar. La même curiosité saisit ensuite Regula et René avec POF. Le Huit sort quatre fois, dont trois sous la haute direction de Matthias. Voici le tableur Excel des sorties par bateaux et par personne (pdf).

Le soir venu, les participants apprécient moins l’hôtel Schlüssel de Willerzell que le Vorauen au Klöntal, mais l’ambiance y est quand même. Dimanche au petit-déjeûner, elle est brutalement refroidie par l’annonce d’un gros dégât à Four Ever. Ce matin-là, quatre lêves-tôt trouvent l’eau si belle qu’ils ajoutent une boucle fatale au tour habituel. Le fautif, votre serviteur, rame en proue. Un sprint final, une fausse pelle. Tout affairé à reprendre la rame plutôt que la vigie, je ne tourne pas la tête, comme j’aurais dû le faire. Car sur sa lancée, le bateau a pris un mauvais cap. Et, à la reprise, comme dans un mauvais film, collision avec l’unique récif d’un plan d’eau pourtant vaste.

Heureusement, pas d’hémoglobine, ni de contusion. Mais une forte émotion, partagée à bord et à terre, car on craint le pire pour Four Ever. Le soir même à Zurich, le patron de Stämpfli nous rassure : le bateau est réparable. Four Ever gardera les mêmes qualités qu’autrefois, y compris en régate, moyennant 500 grammes de matériel en plus. Michel, enfin déridé, conclut : « Chacun des 4 rameurs devra donc perdre 125 grammes ».

Ce n’est pas à moi, le fautif, de tirer une morale pour les autres. Mais je retiens deux choses : a) En tout temps et toute circonstance, toujours faire son job, à bord comme à terre : une seconde d’inattention peut ne pas pardonner ; b) Rester droit dans ses bottes, en assumant sa faute et ses responsabilités.

Dont acte : l’expert de ma RC était dès lundi chez Stämpfli et Four Ever sera réparé d’ici trois semaines. J’en suis désolé pour nous tous, mais soulagé de le savoir bientôt de retour.

Un quatre à réparer

Informations importantes

par: René Obi, (commentaires : 0)

Après plusieurs dégât inutiles aux bateaux, nous avons décidé de faire des fiches d'information – comment sortir Vieux Jean, à quoi penser à l'utilisation des bateaux, que faire si on a fait un dégât etc. Nous les avons affiché dans le garage et dans la cuisine. Je vous pries de bien vouloir les lire (les voici en pdf).